Comme d’habitude, on marche sur la tête. Une autre façon de voir les choses est que cette aberration met en lumière quels intérêts le législateur sert. Ce n’est pas celui du peuple en tout cas, celui-ci, selon lui, semblant devoir ingurgiter tous les poisons chimiques de l’industrie « phytosanitaire ».

En même temps,  puisque cela nous rend malade, c’est également bon pour les pharmas et ça creuse le trou de la sécu, donc bon pour les assurances santé privées. Bref, quand on y réfléchit un peu, en fait, tout coule de source.