La maîtresse restait inclinée devant moi,
attendant que j’obtempérasse mais, moi, je n’arrivais pas à m’arrêter de
pleurer. Elle ne me gronda pas pour autant. Elle
m’observait ; on aurait dit qu’elle m’écoutait. Alors, essayant de regrouper mes pensées, je levai les yeux –dont
un était caché- vers la maîtresse et lui demandai :
http://lappeldelahorde.blogspot.fr/2014/02/chap6-famille-nombreuse-extrait-110.html
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