Chaque mardi, lorsque nous entrions dans
l’école des garçons, je cherchais Camille du regard mais il était de plus en
plus loin, au fond de la cour. Il regardait : oui, le cache était toujours
là. Alors, il se détournait, comme s’il n’y croyait plus.
http://lappeldelahorde.blogspot.fr/2014/02/chap6-famille-nombreuse-extrait-117.html
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