Moi, je ne baissai pas la tête honteusement
comme les fois précédentes. Mon œil droit ne louchait plus et mon œil gauche
n’avait plus de cache ; mon regard était beau, droit et fier. Quand
Camille me vit, il ne se détourna pas comme les autres fois ; il me
regarda les yeux et s’approcha un peu.
http://lappeldelahorde.blogspot.fr/2014/02/chap6-famille-nombreuse-extrait-123.html
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